L’Amour est un don, pas une posession
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L’Amour est un don, pas une posession

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La mentalità di possesso
è diffusa in tutta la società.
Le relazioni umane,
invece che essere improntate all'incontro,
alla scoperta dell'altro, allo stupore,
all'apertura sono improntate al possesso.

 

Chaque jour, dans les journaux sont déballés des cas d’homicides ou de violences liées à la vie affective des personnes: parents-enfants, fiancé-fiancée, mari-femme et aisi de suite. En particulier la relation homme-femme semble se distinguer par un risque croissant de violences. On a l’impression que les personnes ne savent plus vivre ensemble, et quand l’une des parties abandonne, on n’arrive plus à accepter une nouvelle réalité et les réactions sont d’une surprenante et inouie violence.

Les relations affectives débouchent souvent dans le drame et la violence, et souvent c’est la femme qui en paye les plus lourdes conséquences. Parfois, il arrive le contraire, mais en général, c’est l’homme abandonné, qui voit s’envoler son “objet” qui perd le controle et réagit de manière irraisonnée. Combien de jeunes filles menacées, combien de mois passés sous la simple menace de “si je te vois avec un autre, je te tue”, combien de guets et talonnages! O combien de chantages moraux! Et je parle d’un monde sous-terrain qui souvent n’apparait meme pas entre meilleurs amis. Combien d’histoires n’émergent qu’après des années de mutisme.

Les relations humaines, au lieu d’etre orientées vers la rencontre, la découverte de l’autre, l’émerveillement, l’ouverture, elles sont dirigées vers la posession. L’autre devient un de mes droits, il m’appartient, c’est mon objet. La relation devient alors le choix d’un produit, beau, aimable, qui comble mes besoins, il me plait: donc il est à moi! Quand je découvre que ce n’est pas ainsi, que l’autre est libre et que rien ne le lie à moi si ce n’est son choix libre, que ceci n’arrive que dans la liberté et l’amour, alors je perd la tete….

On trouve dans la société d’aujourd’hui une très grande fragilité psychique. Des personnes qui ne supportent pas un refus, une difficulté, un risque, une incertitude. Des personnes apparemment saines qui, en fin de compte, agissent comme des infirmes mentaux… On n’imagine pas combien les personnes souffrent dans leur tete, parcequ’elles ne sont pas soignées dans le coeur ni dans l’esprit…

Le Seigneur nous demande de prendre soin aussi de ces personnes. Ceux qui apparaissent possédés et fracturés par mille personnalités confuses, sont des frères à libérer, et, en agissant ainsi, beaucoup d’autres vies innocentes seraient protégées, des personnes qui n’ont pas su comprendre à temps dans quel dédale ils étaient en train  d’entrer…

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